C’est au printemps 1945 que la petite Vera voit pour la première fois la vieille ferme perdue au cœur d’un immense verger. Sa mère et elle viennent de traverser à pied une Allemagne en ruines. Soixante-dix ans plus tard, Vera, qui occupe toujours la maison, voit débarquer à son tour sa nièce, Anne, en pleine rupture amoureuse, et son jeune fils Leon. Les deux femmes, fortes têtes et solitaires, vont affronter ensemble une histoire familiale traversée de secrets et de non-dits. Sauront-elles redonner vie à ces murs hantés par les chimères du passé ? Pour cela, il faudra d’abord apprivoiser les habitants du village qui ne manquent ni de caractère ni d’originalité...
Malheureusement celui-ci se solde par un abandon. Ma chronique ne sera pas longue mais j'essaierai d'être la plus concise et objective possible.
J'ai trouvé la plume trop lourde, trop sévère, trop de trop. En principe je tombe sous le charme d'un livre d'abord par la plume mais je fus totalement indifférente à celle-ci, restée sur la touche par l'insensibilité qu'elle dégageait.
De plus, l'intrigue est plate, creuse, vide, je me perdais parmi tous ces noms et je ne parvenais pas à faire le rapprochement entre chacun.
Ce sera donc un abandon pour moi. Ce livre n'était pas fait pour moi, je n'ai donc pas forcé. Je n'ai pas su percevoir l'intérêt du livre, c'était donc certain que je ne persisterai pas dans ma lecture.
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