Toujours embarquée dans cette lecture commune sur la saga, le petit succès du premier tome m’a fait directement
enchaîner mon emploi du temps sur le tome deux afin que j’en apprenne un peu
plus.
En conclusion, un
second tome encore meilleur que le premier, où action et scènes cocasses se
multiplient et se côtoient pour donner le meilleur d’elles-même au lecteur.
J’ai retrouvé les personnages avec plaisir, notamment Grover qui a su m’amuser
à plusieurs reprises, et la fin me donne très envie de lire la suite très
prochainement, ce que je ne manquerai sûrement pas de faire. Une surprenante
réussite !
Retourné
vivre une nouvelle année scolaire auprès de sa mère, Percy se targue de finir
son année sans incident notoire. C’était sans compter sur le dernier jour et
une attaque de morts-vivants près à tout pour sa peau. De nouveau entraîné dans
des histoires abracadabrantesques malgré lui, il se découvrira un nouveau lien
de parenté qui le plongera à plusieurs reprises dans des situations gênantes et
partira pour une nouvelle mission à laquelle il risque de ne pas revenir. Cela
ne vous met-il pas l’eau à la bouche ?
Sur
l’intrigue en elle-même, je l’ai préféré au premier tome. Y’a plus de rythme,
plus d’action, avec toujours une multitude de situations saugrenues et cocasses
qui accentue cette facilité déconcertante du défilement des pages.
Les
énigmes autour de Luke sont également relancée, on cherche à savoir jusqu’où va
son degré de manipulations, quels sont les plans dans ses plans, etc.
La
fin est en partie liée à ce plan, selon les interprétations de Chrion, le
fameux centaure. Cette fin est également rapide, beaucoup trop rapide, mais la
dernière phrase titille notre curiosité et invite clairement à lire la suite,
au vu des interrogations et des promesses qu’elle suscite.
Nous
retrouvons très rapidement tous les éléments qui ont permis au tome précédent
d’atteindre le succès.
Tout
d’abord, on redécouvre avec plaisir l’impertinence de Percy, héros du livre,
qui refuse de se plier à l’autorité divine, entraînant une myriade d’actions
qui envoie bien loin l’ennui.
Ce
second tome est également l’occasion de faire une nouvelle virée parmi les
mythes gréco-romains, avec une complexification de cet univers permettant une
meilleure accroche auprès du lectorat plus âgé.
Parmi
les nouveautés, une sorte de lien télépathique relie Percy à Grover, son
meilleur ami, permettant ainsi de voir par le biais d’un rêve quand l’un ou
l’autre (surtout l’autre, et pas l’un) est en danger. Si cela apporte une
touche d’action supplémentaire, j’ai très peu adhéré car cela manque
d’explications sur les causes de ce lien.
Les
personnages sont toujours aussi attachants. Percy n’a certes pas évolué dans
son comportement mais il reste attachant à souhait et on prend plaisir à la
suivre. Annabeth est quant à elle un peu plus enquiquinante dans le sens
agaçante mais Grover équilibre cet ensemble par sa position cocasse dans lequel
il est plongé jusqu’au cou. Si on visualise les images de l’adaptation
cinématographique en parallèle, le rire peut fuser facilement !
Je
fus également surprise de voir à quel point les ennuies au Camp des Sang-Mêlés
ne m’ont pas laissée indifférente. Cela montre à quel point je suis attachée à
ce lieu et à ses occupants, alors que je me croyais plus distante. Une vraie
surprise, bien agréable.
Le
style contribue toujours à rendre la lecture facile et paisible. Autant que le
premier tome, La mer des monstres est
idéale en période de fatigue pour se détendre et il est encore mieux si on
accroche bien à l’action un peu plus développée ici.
Les autres titres de la saga :
2. La Mer de monstres
- Saga terminée -
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