Un corbeau croise le narrateur qui perd l’esprit et
commence à divaguer en le voyant puis en entendant l’oiseau parler, répétant
constamment les deux mêmes mots : « Jamais plus ».
Mon avis :
Je ne suis pas certaine d’avoir
perçu toute la portée de cette nouvelle. Non, d’ailleurs, je suis certaine de n’avoir
rien compris ! Pas faute d’avoir essayé, mais le sens m’échappe
complètement, même après de multiples relectures.
L’univers est toujours aussi sombre,
toujours aussi baroque. Cela commence par la présence du corbeau, animal lié
aux contes de sorcelleries autre univers noirs. De plus, le narrateur évoque
rapidement une personne morte et plus on s’enfonce dans la lecture plus on
découvre que le narrateur délire et assimile le corbeau cette personne
disparue.
Edgar Allan Poe mène d’une main de
maître cette nouvelle sombre et travaille sur la psychologie, laissant le
lecteur dans l’incapacité de démêler le vrai du faux dans cette histoire.
Pour avoir lu d’autres nouvelles de
lu en VO (je ne me souviens plus des titres malheureusement), je ne conseillerai
pas cette nouvelle pour découvrir la plume de cet auteur.
Si vous avez vu le film L’Ombre du Mal, qui relate une enquête
policière liée aux œuvres de Poe, vous comprendrez avec davantage de facilité l’univers
de cet auteur et son goût pour les sombres intrigues.
En conclusion, une nouvelle très
courte qui fait passer le temps mais nous laisse à la fin avec toutes nos
questions…
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