C'est le même principe que le Week-end à 1000, sauf que je l'écris
ici sous forme de marathon lecture,
vu que j'ai une page dédiée à eux !
Le but est donc de un livre par jour sur une semaine,
dans le but de vider sa PAL.
Ce marathon débutera ce lundi 06 juin dès minuit jusqu'au dimanche 12, 23h59.
vu que j'ai une page dédiée à eux !
Le but est donc de un livre par jour sur une semaine,
dans le but de vider sa PAL.
Ce marathon débutera ce lundi 06 juin dès minuit jusqu'au dimanche 12, 23h59.
Ma PAL spéciale :
Synopsis :
Recueillie par sa grand-mère après la mort de ses parents, la jeune Kaori vit dans les monts d’Automne où elle se destine à être conteuse. Sur Tasai, comme partout dans les mondes du Flux, l’écriture est interdite. Seule la tradition du « Dit » fait vivre la mémoire de l’humanité. Mais le Dit se refuse à Kaori et la jeune fille se voit dirigée vers une carrière de danseuse. Lorsque sa grand-mère meurt, Kaori hérite d’un rouleau de calligraphie, objet tabou par excellence, dont la seule détention pourrait lui valoir une condamnation à mort. Pour percer les secrets de cet objet, mais aussi le mystère qui entoure la disparition de ses parents, elle devra quitter les monts d’Automne et rejoindre la capitale. Sa quête de vérité la mènera encore plus loin, très loin de chez elle.
Synopsis :
On la surnomme la Faucheuse. Débarquée trente ans plus tôt dans le sud, la généralissime Stannir Korvosa assimile méthodiquement nations et tribus au sein de l’Empire d’Asreth, par la force si nécessaire. Rien ne semble résister à l’avancée de cette stratège froide et détachée, épaulée par des machines de guerre magiques. Parvenue à l’ultime étape de sa route, elle est confrontée à un nouveau continent – un océan de verdure où vivent des nomades qui ne comprennent pas les notions de frontières ou de souveraineté. Elle doit pourtant affirmer l’autorité impériale car, dans le sous-sol de la steppe, se trouvent des ressources indispensables pour Asreth. Mais après une vie de conquête, Korvosa pourrait bien rencontrer la plus grande magie qui soit… et affronter un adversaire inédit : le pacifisme.
Synopsis :
« La Nuit s’étiole, mon être renaît. Je ferme les yeux et rêve au loin, m’évadant. Je convoque la glacialité du crépuscule, l’éclat des étoiles et de leur reine, le mystérieux manteau vaporeux de brume, les silhouettes torturées des arbres d’encre. »
La poésie de la nuit, les décors de l’hiver, un monde intérieur de contemplation et d’introspection, tel se dessine l’univers d’Otto. Entre fantasmagories et tourments, le voilà la proie d’un démon intérieur, tandis qu’il lutte pour garder l’équilibre. Doit-il se souvenir des quelques fragments de mémoire qu’il a occultés ? La folie le guette, tapissant d’encres de nuit sa sensibilité. Parviendra-t-il à s’extraire de ce carcan de sang et de cendres ?
Trouvera-t-il sa voix ?
La poésie de la nuit, les décors de l’hiver, un monde intérieur de contemplation et d’introspection, tel se dessine l’univers d’Otto. Entre fantasmagories et tourments, le voilà la proie d’un démon intérieur, tandis qu’il lutte pour garder l’équilibre. Doit-il se souvenir des quelques fragments de mémoire qu’il a occultés ? La folie le guette, tapissant d’encres de nuit sa sensibilité. Parviendra-t-il à s’extraire de ce carcan de sang et de cendres ?
Trouvera-t-il sa voix ?
Synopsis :
" On avait regardé, horrifiés, les cristaux mous submerger le pont et les camarades sauter à la mer sans même attendre la fin, gelés par dizaines. Ce jour-là, la glace avait chanté fort pour eux.
À présent, elle chantait aussi, alors que notre propre bâtiment, l’Awesome Pride, prenait de la vitesse, porté par le Flux. La glace, on la voyait ruisseler comme de l’eau sur de la pierre noire – le véritable océan. Ce que j’aurais voulu le retrouver, lui. Elle, j’essayais de pas l’écouter, mais ce glouglou apaisant, tranquille, libérait une note bleue, obsédante, qui me faisait mal à la tête, comme quand on boit trop froid."
Ils sont venus sauver leur future reine, captive d'un bâtiment ennemi. Ils attendent. À la noirceur des flots répond celle du cœur des hommes, prisonniers du Flux et de la glace. Les navires, immobiles, se toisent, se surveillent. Le temps s'écoule là où l'océan s'est arrêté, saisi par l'angoisse et la froidure des jours. Oui, des jours, des semaines à mener une bataille silencieuse, à se préparer au pire, à l'impensable. Et puis soudain, forcément, la guerre éclate.
À présent, elle chantait aussi, alors que notre propre bâtiment, l’Awesome Pride, prenait de la vitesse, porté par le Flux. La glace, on la voyait ruisseler comme de l’eau sur de la pierre noire – le véritable océan. Ce que j’aurais voulu le retrouver, lui. Elle, j’essayais de pas l’écouter, mais ce glouglou apaisant, tranquille, libérait une note bleue, obsédante, qui me faisait mal à la tête, comme quand on boit trop froid."
Ils sont venus sauver leur future reine, captive d'un bâtiment ennemi. Ils attendent. À la noirceur des flots répond celle du cœur des hommes, prisonniers du Flux et de la glace. Les navires, immobiles, se toisent, se surveillent. Le temps s'écoule là où l'océan s'est arrêté, saisi par l'angoisse et la froidure des jours. Oui, des jours, des semaines à mener une bataille silencieuse, à se préparer au pire, à l'impensable. Et puis soudain, forcément, la guerre éclate.
Synopsis :
En 1793, Jean Verdier, un jeune lieutenant de la République, est envoyé avec son régiment sur les côtes de la Basse-Bretagne pour capturer un noble, Justinien de Salers, qui se cache dans une vieille forteresse en bord de mer.
Alors que la troupe tente de rejoindre le donjon en ruines ceint par les eaux, un coup de feu retentit et une voix intime à Jean d'entrer. A l'intérieur, le vieux noble passe un marché avec le jeune officier : il acceptera de le suivre quand il lui aura conté son histoire.
Celle d'un naufrage sur l'île de Terre-Neuve, quarante ans plus tôt. Celle d'une lutte pour la survie dans une nature hostile et froide, où la solitude et la faim peuvent engendrer des monstres...
Alors que la troupe tente de rejoindre le donjon en ruines ceint par les eaux, un coup de feu retentit et une voix intime à Jean d'entrer. A l'intérieur, le vieux noble passe un marché avec le jeune officier : il acceptera de le suivre quand il lui aura conté son histoire.
Celle d'un naufrage sur l'île de Terre-Neuve, quarante ans plus tôt. Celle d'une lutte pour la survie dans une nature hostile et froide, où la solitude et la faim peuvent engendrer des monstres...
Synopsis :
Alors que les flots sombres et menaçants de la rivière submergent Perdido, une petite ville du sud de l'Alabama, les Caskey, une riche famille de propriétaires, doivent faire face aux innombrables dégâts provoqués par la crue. Mené par Mary-Love, la puissante matriarcale, et par Oscar, son fils dévoué, le clan s'apprête à se relever. Maus c'est compter sans l'apparition, aussi soudaine que mystérieuse, d'Elinor Dammert, jeune femme séduisante au passé trouble, dont le seul dessein semble être de s'immiscer au cœur de la famille Caskey.
Synopsis :
Nox, l’ancien commis d’épicerie, est désormais seul maître à bord de l’échoppe Saint-Vivant. Il a pris ses distances avec la maison de la Caouane qui, enfant, l’avait recueilli. Mais, alors que l’hiver touche à sa fin, les problèmes refont surface. Tout ce que la Cité compte d’opposants au Duc Servaint s’est mis en tête que le Duc devait mourir, et que la main qui le frapperait serait celle de Nox. Mais consentira-t-il à tuer l’homme qui l’a élevé ? De sa décision dépendra le destin de Gemina.
Synopsis :
Lovelace, intelligence artificielle née à bord du Voyageur à la fin de L’Espace d’un an, accepte de se transférer à bord d’un corps synthétique. Devenir humaine, une chance ? Pas pour elle : les limitations de la chair l’étouffent. Champ de vision ridiculement restreint, pas d’accès au réseau, réactions physiologiques incontrôlables...
À ses côtés, Poivre, mécano, l’aide de son mieux. Ancienne enfant esclave libérée par miracle, grandie seule sur une planète ravagée, elle aussi a dû lutter pour accéder pleinement à l’humanité et se construire une vie, sinon ordinaire, du moins normale.
À ses côtés, Poivre, mécano, l’aide de son mieux. Ancienne enfant esclave libérée par miracle, grandie seule sur une planète ravagée, elle aussi a dû lutter pour accéder pleinement à l’humanité et se construire une vie, sinon ordinaire, du moins normale.
Voici donc ce que j'ai lu en temps et en heure !
Lundi
- 233 pages de Quitter les monts d'automne d'Émilie Querbalec
Franchement emballée par un début sur un fond artistique et un univers original,
je ressors finalement déçue par un dernier tiers du livre ennuyeux et par une fin trop convenue...
je ressors finalement déçue par un dernier tiers du livre ennuyeux et par une fin trop convenue...
- 197 pages d'Encres de nuit de Maude Elyther
Je reconnais que c'est très bien écrit, la plume est très belle et on sent que l'autrice sait de quoi elle parle
car les émotions sont très puissantes.
Seulement je me suis perdue dans les différents degrés de conscience d'Otto, ce qui m'a laissée totalement indifférente à sa souffrance.
Je regrette vraiment d'être passée à côté...
car les émotions sont très puissantes.
Seulement je me suis perdue dans les différents degrés de conscience d'Otto, ce qui m'a laissée totalement indifférente à sa souffrance.
Je regrette vraiment d'être passée à côté...
- 131 pages de L'Impassible Armada de Lionel Davoust
J'ai adoré. C'est un fantastique très doux, un peu malaisant aussi,
avec des personnages dont on ne s'attache pas forcément mais dont on perçoit l'instinct de survie.
L'univers de la guerre et de la conquête impériale est très bien décrit, celui du gel également.
Une petite pépite à découvrir.
avec des personnages dont on ne s'attache pas forcément mais dont on perçoit l'instinct de survie.
L'univers de la guerre et de la conquête impériale est très bien décrit, celui du gel également.
Une petite pépite à découvrir.
561/2200 | 3/8,
Un excellent début, même si j'ai consacré ma journée et ma soirée à la lecture.
D'une part ça m'a fait un bien fait de déconnecter des écrans,
d'autre part je ressors satisfaite de cette première journée, en terme de quantité.
Heureusement, je termine ce premier jour sur une excellente lecture !
Mardi
- 159 pages de La Route de la Conquête de Lionel Davoust
Le recueil débute justement avec La Route de la Conquête que j'ai adoré.
Ca m'a paru parfois un peu long mais c'est finalement nécessaire pour développer les personnages,
leurs convictions, leurs relations, pour comprendre la toute fin. Et quelle morale !
Ca m'a paru parfois un peu long mais c'est finalement nécessaire pour développer les personnages,
leurs convictions, leurs relations, pour comprendre la toute fin. Et quelle morale !
- 250 pages de Blackwater, tome 1 - La Crue de Michael McDowell
C'est une saga qu'on voie partout en ce moment. Je me suis laissée tenter, notamment pour la beauté de l'ouvrage...
Et je ne regrette pas. C'est vraiment une lecture qui se gobe toute seule,
une lecture envoûtante malgré certains membres de cette famille horribles. Tant de malaise, de mystères, j'ai clairement envie d'obtenir des réponses rapidement ! A lire.
Et je ne regrette pas. C'est vraiment une lecture qui se gobe toute seule,
une lecture envoûtante malgré certains membres de cette famille horribles. Tant de malaise, de mystères, j'ai clairement envie d'obtenir des réponses rapidement ! A lire.
970/2200 | 4/8,
Une excellente journée cette fois-ci, rien à redire dans la quantité comme la qualité.
Je croise les doigts pour que la suite du marathon se poursuive en de si bonnes compagnies.
Mercredi
- 44 pages de La Route de la Conquête de Lionel Davoust
Seconde nouvelle intitulée Au-delà des murs, j'ai une fois de plus aimé la plume et les idées de l'auteur.
Au travers de ce personnage, on retrouve un petit côté Shutter island, à se méfier de tout propos, de tout geste.
Ce n'est évidemment pas anodin, entre les horreurs de la guerre et la méfiance envers un empire indifférent de ses soldats,
ces derniers ressortent brisés. Une chouette lecture malgré un thème très lourd.
Au travers de ce personnage, on retrouve un petit côté Shutter island, à se méfier de tout propos, de tout geste.
Ce n'est évidemment pas anodin, entre les horreurs de la guerre et la méfiance envers un empire indifférent de ses soldats,
ces derniers ressortent brisés. Une chouette lecture malgré un thème très lourd.
- 249 pages de Widjigo d'Estelle Faye
Un début un peu long à se mettre en route, même si c'est nécessaire pour la mise en place de l'atmosphère et des personnages.
D'abord sceptique, je ressors finalement admirative des différents twists !
L'autrice a maîtrisé son intrigue et son ambiance, cachant les tenants et aboutissants jusqu'à la fin.
Et celle-ci est plutôt incroyable, comme si ça n'en finissait jamais ! Bref, une petite pépite dans le champ du fantastique.
D'abord sceptique, je ressors finalement admirative des différents twists !
L'autrice a maîtrisé son intrigue et son ambiance, cachant les tenants et aboutissants jusqu'à la fin.
Et celle-ci est plutôt incroyable, comme si ça n'en finissait jamais ! Bref, une petite pépite dans le champ du fantastique.
1263/2200 | 5/8,
Je tiens le rythme, toujours emportée par des lectures passionnantes.
Je sais que les deux romans restants ne me décevront pas, je peux donc déjà dire que c'est une réussite qualitativement.
Reste à savoir si je finirai dans les temps ;-)
Jeudi
- 40 pages de La Route de la Conquête de Lionel Davoust
La Fin de l'Histoire m'a peut-être un peu moins emballée. Déjà parce que la visée est plus trouble,
aussi parce que les personnages sont moins étayés, ils servent simplement une cause, sans vraiment prendre conscience des autres peuples. Difficile de déterminer si le conservateur et le militaire croient en l'âme protectrice de l'empire.
Une nouvelle plus difficile à cerner, donc, mais qui apporte de belles réflexions.
aussi parce que les personnages sont moins étayés, ils servent simplement une cause, sans vraiment prendre conscience des autres peuples. Difficile de déterminer si le conservateur et le militaire croient en l'âme protectrice de l'empire.
Une nouvelle plus difficile à cerner, donc, mais qui apporte de belles réflexions.
- 394 pages de Capitale du Sud, tome 2 - Trois Lucioles de Guillaume Chamanadjian
Encore une belle claque pour un joli coup de cœur. Ca se lit tellement tout seul...
Une intrigue trépidante, qui ne s'embarrasse plus des présentations. Tout de suite dans le vif du sujet,
le récit connaît un petit ventre mou avant d'imploser à la toute fin. souffle coupé.
Une intrigue trépidante, qui ne s'embarrasse plus des présentations. Tout de suite dans le vif du sujet,
le récit connaît un petit ventre mou avant d'imploser à la toute fin. souffle coupé.
1697/2200 | 6/8,
Les derniers jours étaient excellents en terme de rythme et de qualité,
mais là je viens de finir le plus long roman de la sélection et j'ai eu un profond coup de cœur pour ce dernier !
Ce challenge est une belle réussite, un beau voyage en terre d'imaginaire !
Vendredi
- 30 pages de Les Voyageurs, tome 2 - Libration de Becky Chambers
C'est trop peu pour juger un livre, je dirai seulement que je suis contente de replonger dans cet univers,
même si je suis frustrée de ne pas revoir tous les personnages du premier.
même si je suis frustrée de ne pas revoir tous les personnages du premier.
1727/2200 | 6/8,
Petite journée pas trop prévu, j'ai décidé de sortir un peu puis j'ai joué avec Mister,
je n'ai donc pas pris le temps de me plonger dans un bouquin.
Faut dire aussi que je dors mal et que lire demande pas mal de concentration, je ressens ainsi de la fatigue, qui j'espère ne m'empêchera pas d'aller au bout.
Samedi
- 24 pages de La Route de la Conquête de Lionel Davoust
Bataille pour un souvenir fut une superbe lecture, ma préférée jusqu'à maintenant.
Après trois nouvelles où on suit l'angle de l'empire, on découvre enfin le point de vue des peuples en conflit contre lui.
Un twist que je n'avais pas vu venir et beaucoup d'émotions qui se transmettent par le biais des petits flashbacks,
j'ai trouvé l'ensemble très réussie et convaincante.
Après trois nouvelles où on suit l'angle de l'empire, on découvre enfin le point de vue des peuples en conflit contre lui.
Un twist que je n'avais pas vu venir et beaucoup d'émotions qui se transmettent par le biais des petits flashbacks,
j'ai trouvé l'ensemble très réussie et convaincante.
- 44 pages de La Route de la Conquête de Lionel Davoust
Le Guerrier au bord de la glace fut une très bonne lecture, bien que moins marquante que la précédente.
Ici, ce n'est pas tant les combats, la conquête de l'empire qui importe, davantage la confiance que ses soldats placent en lui
et toute la technologie qui s'y développe pour faire de l'empire un ennemi immortel.
Entre ça et les créatures que l'on rencontre, ça m'a donné envie de me jeter sur les romans !
Ici, ce n'est pas tant les combats, la conquête de l'empire qui importe, davantage la confiance que ses soldats placent en lui
et toute la technologie qui s'y développe pour faire de l'empire un ennemi immortel.
Entre ça et les créatures que l'on rencontre, ça m'a donné envie de me jeter sur les romans !
- 255 pages de Les Voyageurs, tome 2 - Libration de Becky Chambers
J'ai eu un peu de mal à rentrer dedans. J'ai éprouvé un peu moins d'attachements envers ces deux personnages principaux
et l'intrigue présente encore moins d'intérêt, si je puis dire, que le premier opus.
Et pourtant j'ai fini par adorer, ayant du mal à décoller de ma lecture (j'y étais encore à 1h du mat') !
et l'intrigue présente encore moins d'intérêt, si je puis dire, que le premier opus.
Et pourtant j'ai fini par adorer, ayant du mal à décoller de ma lecture (j'y étais encore à 1h du mat') !
2050/2200 | 6/8,
Je suis tellement fière de moi. Après une nuit catastrophique, j'avais tout simplement envie d'abandonner pour geeker.
Puis je me suis administrée une claque mentale et finalement je n'ai jamais été si proche du but.
C'est certain que le challenge sera réussi, avec très peu de flop.
Dimanche
- 37 pages de La Route de la Conquête de Lionel Davoust
Quelques grammes d'oubli sur la neige creuse plus encore la question de la diversité, notamment de culture mais aussi de religions.
J'ai beaucoup aimé le développement et les personnages, mais j'aurais aimé en avoir plus sous la dent au sujet de la magie.
Ca reste une très bonne nouvelle !
J'ai beaucoup aimé le développement et les personnages, mais j'aurais aimé en avoir plus sous la dent au sujet de la magie.
Ca reste une très bonne nouvelle !
- 99 pages de Les Voyageurs, tome 2 - Libration de Becky Chambers
Bon, cette fin m'aura moins convaincue. C'est certes chaleureux et humain, mais tout un pareil développement pour en arriver là...
Ce fut une lecture agréable mais moins marquante que le premier tome.
Ce fut une lecture agréable mais moins marquante que le premier tome.
2200/2200 | 8/8,
En toute modestie, j'aurai pu lire un autre petit livre supplémentaire mais j'ai eu besoin de me changer les idées.
J'ai déjà réussi ce challenge, je suis très fière de moi !
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